Résumé : Pour son vingtième
roman, Maxime Chattam s’amuse à dresser le portrait d’une petite
ville du Midwest américain des années 60 jusqu’au début des
années 80, avec pour fil rouge l’évolution de Jon Petersen, un
pervers psychopathe, de son enfance jusqu’au point culminant de sa
sinistre carrière criminelle. Un roman noir à l’écriture et à
l’atmosphère uniques dans la carrière de l’auteur, où tout
converge vers un final aussi étonnant qu’imprévisible. Que ta
volonté soit faite est non seulement un voyage à Carson Mills, mais
aussi dans ce qui constitue l’essence même du roman policier, la
vérité et le crime. On songe bien sûr à Stephen King (une
bourgade à la Norman Rockwell où tout le monde connait tout le
monde, un vieux shérif obstiné, le poids de la religion, les
secrets de famille…) et parfois aussi à Jim Thompson. Une réussite
Avis :
Lorsque je suis passée à la
bibliothèque, je n'ai pu m’empêcher de passer voir les policer;
thriller. Ainsi, j'ai aperçu cette petite chose.
Après avoir fini, Là ou j'irai de
Gayle Forman, je me suis encouragée à commencer à le livre, en
pleine soirée, presque durant la nuit profonde. J'ai donc lu l'avant
propos, qui m'a bien mit dans le thème et l'ambiance du livre. En
conclusion, ce soir là, j'ai seulement lu l'avant propos de peur
d'avoir peur.
Par la suite, comme je m'y attendais,
j'ai retrouvé le vocabulaire cru de l'auteur et une évolution à
travers les pages et les années très bien menées. Cependant, dans
cet ouvrage, on ne retrouve pas totalement l'esprit « enquête
criminelle » d'In tenebris, qui au final ne m'a pas dérangé.
Quant aux personnages du livre on se
situa assez bien dans les arbres généalogiques et la hiérarchie de
la petit ville de Carson Mills. On découvre une diversité de
personnages, que l'on suit dans tous les détails du début à la
fin.
Parlons s'en de cette fin ! Une fin ou
une chute que l'on attendait pas le moins du monde. Un dénouement
exquis. Je ne sais pas si l'auteur voulait nous horrifiés mais cela
m'a plutôt fait sourire de son ingéniosité.
En définitif, ce livre est un très
bon ouvrage sans aucune surprise, je m'attendais juste à plus de
dialogue.
Pages : 361 pages
Note : 9/10
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